Les résidences "Edilys" sont des établissements qui, dans le même bâtiment, font coexister des structures de type "logements-foyers" non médicalisées, des unités de vie médicalisées, des cantous, des chambres d'hôtes destinées aux séjours temporaires.
Ces établissements ont pour vocation de garder les personnes âgées en perte d'autonomie. Ils sont situés en milieu urbain. Ils ont une capacité de 60 à 90 lits selon le contexte local.
La particularité des "Résidences Edilys" est le versement d'un apport personnel par la personne âgée (25 % de l'investissement) et d'une redevance mensuelle. En contrepartie du versement initial, le résident aura l'usage à vie de son logement. Le capital est remboursé en cas de départ ou de décès, selon un barème dégressif.
Situation différente de celle prévue par un référentiel.
Document identifiable permettant la traçabilité d'une action.
Opération d'évaluation effectuée chaque année, conformément aux modalités prévues, entre un membre du personnel et son supérieur hiérarchique.
Groupe de personnes nommées pour élaborer une prestation pour un ou plusieurs produits.
Groupe de personnes chargé de mettre en œuvre un objectif transversal.
L'établissement de long séjour a pour mission d'assurer l'hébergement des personnes ayant perdu leur autonomie de vie et dont l'état de santé nécessite une surveillance médicale constante et des traitements d'entretien.
Les définitions du "long séjour" et de la "section de cure médicale" sont très proches : ils accueillent souvent une clientèle identique. Le "long séjour" est également appelé "unité de soins de longue durée".
Sont des établissements sociaux et médico-sociaux, tous les organismes publics ou privés qui, à titre principal et d'une manière permanente :
Dom. : immigration, intégration.
Déf. : Catégorie d'analyse sociologique qui s'efforce de référer les différenciations sociales et les inégalités de statuts économiques observables dans une société donnée à des caractéristiques de nature ethnique (origine culturelle, traits physiques apparents, modes de comportement, etc.) susceptibles d'identifier des personnes et des groupes.
Note : En France, toute référence à l'ethnicité d'une personne ou d'un groupe peut être légitimement considérée comme contraire à l'ordre républicain, dans la mesure où elle met en question l'unité juridiquement intangible de la nation française. On rappellera de ce point de vue la décision du Conseil Constitutionnel en date du 9 mai 1991 relative au statut de la Corse, condamnant le recours dans un projet de loi à l'expression de "peuple corse" en tant que "communauté historique et culturelle vivante" : "la mention faite par le législateur du "peuple corse, composante du peuple français", est contraire à la Constitution, laquelle ne connaît que le peuple français, composé de tous les citoyens français sans distinction d'origine, de race ou de religion". De ce fait, la notion de "minorité ethnique", d'usage courant dans les pays Anglo-Saxons, est également privée de légitimité institutionnelle.
* Définition donnée par la Commission de terminologie et de néologie du domaine social du Ministère des Affaires Sociales - http://www.social.gouv.fr/htm/modedemploi/index.htm
Opération de mesure, quantitative ou qualitative, d'une action, d'un acteur ou d'un processus.
Opération de mesure effectuée, conformément à une grille définie, à la fin d'une action de formation.
Opération de mesure effectuée, conformément à une grille définie, pendant le déroulement d'une action de formation.
Déf : Ensemble de mécanismes de rupture, tant sur le plan symbolique (stigmates ou attributs négatifs) que sur le plan des relations sociales (rupture des différents liens sociaux qui agrègent les hommes entre eux).
L'exclusion est à la fois un processus (produit par un défaut de la cohésion sociale) et un état (résultat d'un défaut d'insertion).
Note : Le concept d'exclusion sociale est caractérisé par 3 grandes dimensions. La première est celle de la sphère économique, incluant les formes de précarité vis-à-vis de l'emploi, et l'insuffisance chronique ou répétée des ressources, marque classique de la pauvreté . La seconde dimension est celle de la non reconnaissance, ou du non usage des droits sociaux, mais aussi des droits civils et des droits politiques. La troisième est celle des relations sociales. Elle représente les formes aiguës de déstructuration sociale et psychologique que la crise économique et les situations de non-droit engendrent chez les individus, familles ou groupes sociaux.
* Définition donnée par la Commission de terminologie et de néologie du domaine social du Ministère des Affaires Sociales - http://www.social.gouv.fr/htm/modedemploi/index.htm